1. Alignement, authenticité et sincérité
La communication souligne l’alignement de l’entreprise entre ses actes et ses propos. Elle porte sa raison d’être, sa singularité et sa contribution au bien commun.
Surcharge mentale des publics, augmentation du travail du producteur de contenus, empreinte énergétique du web grandissante…
Autant de conséquences néfastes de la diffusion exponentielle d’informations caractéristique de notre époque.
Et si nous faisions un pas de côté ? Transformons la communication : moins, mieux, autrement !
Dans un contexte d’obésité informationnelle, l’approche par la sobriété éditoriale questionne les origines du dysfonctionnement.
En considérant le besoin, elle évalue l’intérêt d’un contenu au regard de son utilité pour le public et de son efficacité pour la communication de l’organisme.
Ralentir sa production de contenus, piloter leur cycle de vie, questionner l’efficacité et la pertinence de sa stratégie de publication, choisir le format le moins énergivore, tout en préservant une expérience de qualité pour l’usager sont autant de bonnes pratiques à déployer pour, enfin, mettre en œuvre une communication responsable.
La communication souligne l’alignement de l’entreprise entre ses actes et ses propos. Elle porte sa raison d’être, sa singularité et sa contribution au bien commun.
Les contenus sont utiles aux utilisateurs. Ils servent les objectifs de communication de la structure.
Le cycle de vie du contenu est planifié depuis sa création, sa déclinaison tous supports, jusqu’à la mise à jour, l’archivage et la suppression.
L’objectif : capitaliser, rationaliser et mesurer ce contenu pour davantage d’efficacité et de performance.
Le dispositif de communication responsable suit les bonnes pratiques d’écoconception, le nombre de plateformes de diffusion investies est dimensionné au regard des objectifs et la fréquence de publication respecte l’internaute.