Référentiel de conformité
Sobriété éditoriale

Pour faciliter l’utilisation, plusieurs formats sont à votre disposition :

Version française

• référentiel de conformité (pdf, 280 Ko)
• liste des règles (.xls, 24 Ko)
• liste des règles (.ods, 16 Ko)
• version github (.json)

Version anglaise (à venir)

Retrouvez toutes les explications pour prendre en main facilement le référentiel, avec pour objectifs d'auto-évaluer la maturité en sobriété éditoriale de votre dispositif de communication pour prioriser les actions à mettre en place.

Sommaire

• Référence Cyclop Éditorial
• Étape
• Catégorie
• Bonne pratique
• Règle de validation
• Note
• Facilité de mise en œuvre
• Capacité à réduire la charge mentale
• Prioritaire
• Référence Green-IT.fr
• Référence V1 Cyclop Éditorial

En détails

• Référence Cyclop Éditorial : nom de la bonne pratique

• Étape : il s’agit de l’étape de production.
  • L’étape de caractérisation concerne l’identité de la structure.
  • L’étape de structuration vise à catégoriser toutes les informations collectées.
  • L’étape de rédaction concerne les bonnes pratiques de langage clair.
    
  • L’étape d’optimisation concerne le référencement des pages, les micro-contenus de navigation et la mise en page du contenu.
  • Enfin, l’étape de gouvernance éditoriale : cette étape concerne le dispositif de communication, le pilotage du cycle de vie du contenu et l’analyse de sa performance.

• Catégorie : message, texte, information, graphisme, confort de lecture, balisage HTML, navigation, dispositif de communication, pilotage

• Bonne pratique : titre de la bonne pratique

• Règle de validation : le respect de cette règle détermine la note à affecter

• Note : 

Une note de 0 ou 1 est attribuée à chaque bonne pratique, en fonction de sa conformité ou non. Ce qui donne ainsi un score général au site internet, qui peut être calculée également en pourcentage.

• si la bonne pratique est validée, elle obtient la note 1,
• si la bonne pratique n’est pas validée, elle obtient la note 0,
• Si la bonne pratique n’est pas applicable, le choix Non Concerné l’exclut de la notation.

• Facilité de mise en œuvre
  • Facile : la mise en œuvre est facile. Elle ne nécessite pas de compétences particulières.
  • Standard : n’importe quel prestataire peut effectuer cette pratique. En interne, elle est atteignable par une montée en compétences.
  • Difficile : la mise en œuvre de cette pratique nécessite un niveau d’expertise élevé. Un accompagnement avec un prestataire doté d’une vision stratégique est à prévoir.

• Capacité à réduire la charge mentale
  • Levier important : cette bonne pratique possède un potentiel élevé pour réduire la charge mentale. Elle favorise la compréhension de l’information et le passage à l’action. Elle favorise également la réduction du poids en Ko de la page.
  • Levier moyen : cette bonne pratique possède un potentiel moyen pour réduire la charge mentale.
  • Levier faible : cette bonne pratique apporte de la qualité aux contenus du site internet, mais l’impact sur la réduction de la charge mentale est minime.

• Prioritaire : une notation priorise la mise en œuvre de ces pratiques. Ainsi, une bonne pratique est :
  • prioritaire, si sa mise en œuvre est facile et son levier important,
  • conseillée, si sa mise en œuvre est difficile et son levier important, ou si sa mise en œuvre est standard et son levier moyen,
  • non prioritaire, si sa mise en œuvre est difficile et son levier faible.

Pour cela, la notation se répartit comme suit :

• mise en œuvre facile : 3
• mise en œuvre standard : 2
• mise en œuvre difficile : 1

qui s’ajoute à :

• levier important : 3
• levier moyen : 2
• levier faible : 1

Ainsi, est considérée comme :

• prioritaire, une bonne pratique qui obtient un score entre 5 et 6
• conseillée, une bonne pratique qui obtient un score entre 3 et 4
• non prioritaire, une bonne pratique qui obtient un score inférieur à 3

• Référence Green-It : nomenclature

• Référence Cyclop Éditorial : numéro de la bonne pratique, version 1 (2022) du référentiel

Voici différentes solutions pour parler de la démarche

1 – Intégrer des informations dans une déclaration environnementale

Cela permet d’associer la sobriété éditoriale à la démarche d’écoconception.

2 – Intégrer la démarche de sobriété éditoriale à une réflexion plus globale sur l’accessibilité des contenus

En pratique, vous pouvez insérer une présentation de la sobriété éditoriale dans la page présentant l’accessibilité :

• « Les informations de ce site sont faciles à comprendre et à utiliser. »
• « Les informations de ce site sont écrites en langage clair et accessibles. »

3 – Réaliser une déclaration de sobriété éditoriale

Cette déclaration fait suite à un audit de sobriété éditoriale, réalisé avec le référentiel de sobriété éditoriale. Elle en présente les résultats.

Attention, il ne s’agit pas de faire une usine à gaz multipliant les déclarations, telles que celle d’accessibilité, la déclaration environnementale, etc.

Il s’agit, en fonction de votre secteur d’activité, de souligner les efforts entrepris par votre organisation pour préserver la charge mentale de vos lecteurs.

Vous pouvez alors les faire apparaitre via cette déclaration dans une rubrique à part « Ce site respecte la charge mentale de ses utilisateurs ».
La déclaration de sobriété éditoriale présente une évaluation de la conformité d’un site internet au référentiel de sobriété éditoriale. Elle fait suite à un audit de sobriété éditoriale.

La conformité de chaque bonne pratique est évaluée à travers une règle. Ce qui donne au site une note globale de conformité.

Afin de comparer les sites entre eux, il est conseillé d’auditer 5 pages et 5 parcours de sites.

Télécharger la déclaration de sobriété éditoriale

• rapport d'audit sobriété éditoriale, format Word
• rapport d'audit sobriété éditoriale, format PDF
• déclaration sobriété éditoriale, format Word
• déclaration de sobriété éditoriale, format PDF

Validité de la déclaration de sobriété éditoriale

La déclaration de sobriété éditoriale est valide à partir de sa date de publication. Elle doit être mise à jour :

• à la date de modification ou de refonte du site concerné.
• 3 ans après la date de publication de la déclaration,
• 18 mois après la date de publication d’une nouvelle version du référentiel.